Pendant des décennies, le récit était simple :
L’Afrique forme des talents, les perd au profit de l’Occident, et les regarde s’épanouir ailleurs.
C’est ce qu’on appelait la fuite des cerveaux — et c’était bien réel.
Mais aujourd’hui, quelque chose est en train de changer.
De plus en plus d’Africain·es formé·es à l’étranger tournent à nouveau leurs regards — et leurs efforts — vers le continent.
Nous sommes entrés dans l’ère du retour des cerveaux.
Et si nous jouons bien nos cartes, cela pourrait bien être le moment de l’Afrique.
Quand de jeunes Africains partent étudier à l’étranger, cela ressemble souvent à un aller simple.
Les familles se sacrifient, les pays investissent… et au final, ce sont les économies du Nord qui en récoltent les fruits.
Mais si ces retours — en savoir, en perspective, en réseau — revenaient sur le continent ?
C’est ça, le vrai brain gain : pas juste à travers les transferts d’argent ou les appels Zoom, mais à travers des personnes qui reviennent, construisent, et restent.
Ces personnes apportent :
Beaucoup de talents de retour affrontent des obstacles dont on parle peu :
Ces défis ne se voient pas toujours sur un CV.
C’est pourquoi nous avons créé Passerelle Africa.
Quand un continent est jeune, en croissance, et rempli de potentiel, le retour n’est pas juste un acte de nostalgie.
C’est un acte de construction nationale.
De pertinence économique.
De changement structurel.
Nous n’avons pas seulement besoin que les gens rentrent.
Nous devons les préparer à bien rentrer.
Cela demande du mentorat.
Cela demande de l’orientation.
Cela demande un accès à celles et ceux qui l’ont fait — et qui peuvent guider les autres.
Le retour des talents africains n’est pas une mode. C’est une opportunité.
Ce n’est pas juste une histoire de retour.C’est une histoire de retour avec un plan.Un retour avec du soutien.Un retour pour de bon
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